Le certificateur ne détermine pas le score général du bâtiment comme il l’entend. La rédaction d’un certificat énergétique suit un protocole précis imposé par la loi. Cela fonctionne comme le contrôle technique des voitures. Toute une série de points sont vérifiés (pneu, frein, amortisseur…), le tout est encodé dans un logiciel qui détermine ensuite le type de carte que reçoit le véhicule. Dans le cas du PEB / CPE, le certificateur note les volumes, les vitrages, la composition des murs, le type de système de chauffage… puis le logiciel calcule lui-même le score.
En outre, le certificateur ne peut pas se baser sur les dires du propriétaire. Chaque élément encodé doit avoir été vérifié de visu ou s’appuyer sur des preuves considérées comme acceptables. La liste ci-dessous reprend les documents pouvant être pris en compte comme preuves acceptables :